Auteur:
Chebeeu
[ Posté le 2008-05-02 à 22:26 | 1 message ]
mes textes interresseront peut etre mais ce qui m interresse c est de trouver quel qu un avec co ecrire et surtout donner du volume car moi seul je ne sait pas le faire pour me composer c est tout simple vous prenez les cahnsons de florent pagny et vous les transposez -2 voila ma tessiture a peu correcte
bisous
C’est une chanson écrite pour ma soeur qui a un handicap physique et mental et pour toutes les personnes souffraficiences. Ne jugez surtout pas au premier regard. Essayez plutôt de percer un peu la carapace on y fait souvent des découvertes incroyables.
Chébéeu.
Handicap
j' voulais faire un signe ou même un geste
à tout ceux qui t'ignorent ou te détestent
Jusqu’a oublier ton existence
se murer les yeux d'indifference
y a des raisons qui peuvent pousser parfois
et par derision rient de toi quelquefois
avoir honte
De Montrer un effort même juste une seconde
et qu est ce qu une seconde
face à la realite
moi je me plonge
Il subiste encore autre chose
a repandre
Et je souffre de vous savoir loin d’ici
Loin de vous mon cœur de miel s'affaiblit
Et l’homme que j’engouffre
Ne fait face qu’à moitié
Quand je pense à ces larmes
Qui coulent toujours par milliers
De vous montrer parmi les détails
Que sous l’ogre vit une femme
Et que les regards damnent
que sous l'ogre vit une dame
et que les yeux condamnent
Que sous l’ogre vit une femme
Et que les regards damnent
que sous l'ogre vit une dame
et que les yeux condamnent
face à la realite
je me plonge
Il reste encore autre chose
a repandre
Et je souffre de vous savoir loin d’ici
Loin de vous mon cœur de miel s'affaiblit
Et l’homme que j’engouffre
Ne fait face qu’à moitié
Quand je pense à ces larmes
Qui coulent toujours par milliers
De vous montrer parmi les détails Il m’est difficile de vivre avec
Quand vous n’êtes pas conscient des gestes
Qu’il reste encore des méandres
Des bruits de couloir, des mots qui blessent
Souvent les gens ignorent les maux
Avant qu’ils ne les transpercent
Et je souffre de vous savoir
Dans ce combat qu’est la vie
Dès lors que j’entrouvre
Mon âme mêlée de tendresse,
De chagrin et de tristesse
Que condamnent les Hommes.